Comment faire la différence entre information et intox ?

Publié le : 04 juin 202122 mins de lecture

L’acte de diffuser de fausses nouvelles n’est pas nouveau dans notre société. Elles ne sont peut-être pas complètement éliminées, mais il est possible de réduire les fausses nouvelles en suivant quelques étapes. En fait, la pratique des fausses nouvelles, très débattue et en pleine actualité est bien plus ancienne que nous l’aurions souhaité.

D’où viennent les fausses nouvelles ?

Lorsque la propagande nazie a fait savoir à la population que les Juifs buvaient le sang d’enfants afin d’inciter à la haine contre ce groupe et de les convaincre que les actes violents et antisémites du mouvement nazi étaient justifiables, Facebook n’était pas encore là. En d’autres termes, la pratique des fausses nouvelles n’est pas une conséquence négative des réseaux sociaux. Ce n’est que le reflet d’un mauvais caractère et de mauvaises intentions, mais, bien sûr, il prend des proportions tonitruantes en raison de la puissance virale de ce média. Le débat et l’attention portée aux fausses nouvelles sont devenus de plus en plus nécessaires dans le monde entier. Dans quelle mesure êtes-vous vigilant à cet égard ? Quelles attitudes adoptez-vous avant de partager des contenus de tiers ? Générer des faits irréels et inexistants est une pratique de plus en plus récurrente dans les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook. Des vérités alternatives continuent d’apparaître, ce qui fait souvent la une des grands médias. Le sensationnalisme s’est toujours vendu, et à l’ère du clic, il n’en serait pas autrement. La grande question est que nous ne pouvons pas blâmer les réseaux sociaux. Oui, les plateformes sont responsables et doivent prendre des mesures pour que cela cesse ou du moins diminue, mais chacun de nous est également responsable de ce qu’il partage.

L’exemple du Brésil à propos des fausses nouvelles

En année électorale, il est impossible de ne pas souligner que les fausses nouvelles en politique sont majoritaires. Un épisode récent et alarmant concernant l’irresponsabilité de partager des informations sans en vérifier la véracité s’est produit dans les jours qui ont suivi la mort d’une conseillère au Brésil. Les principales accusations portées contre la conseillère, qui affirmait avoir un lien avec le Commandement rouge et avoir été mariée au dealer ont été partagées au moins 360 000 fois sur Facebook. Une attention particulière doit être portée à la politique, car on sait que les fausses accusations sont utilisées comme stratégie de campagne. Et, comme le dit le proverbe, un mensonge dit mille fois devient vrai. Résultat : le candidat calomnié a été battu dans les sondages. Comme le montre cet exemple, le problème se situe précisément dans la proximité. Lorsque nous voyons un ami ou une connaissance partager une nouvelle, nous avons tendance à le croire immédiatement, sans même soupçonner qu’il puisse s’agir d’un mensonge ou d’un téléphone sans fil qui déforme les choses. Aux États-Unis, 65 millions d’électeurs ont lu au moins un texte sur des sites de fausses nouvelles pendant la campagne. Plus d’un an après la victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis, on parle encore de l’impact que les fausses nouvelles ont eu sur les résultats de cette élection. Bien sûr, ce ne sont pas les faits qui ont donné la victoire au candidat républicain, mais on ne peut pas nier qu’il est inquiétant de voir jusqu’où sont allées les fausses nouvelles concernant Hillary Clinton, la candidate démocrate. Selon un sondage effectué par des politologues dans trois universités américaines, environ 65 millions d’électeurs ont lu au moins un texte sur des sites de fausses nouvelles pendant la campagne électorale.

Comment pouvons-nous nous assurer que les liens que nous lisons sont vrais ?

Le fait est que nous ne pourrons guère arrêter les fausses nouvelles. Comment pouvons-nous donc contribuer à changer cette réalité ? C’est à nous de ne pas aider à répandre des mensonges fabriqués. Que diriez-vous de vérifier si une information est vraie avant de la partager avec votre cercle d’amis virtuel ? Il existe un certain nombre de conseils que vous pouvez suivre pour distinguer les vraies nouvelles des menteurs. Tout d’abord, il faut aller au-delà du titre : lire le contenu d’une publication. Pour ceux qui écrivent tous les jours, créer un titre accrocheur est plus facile que vous ne pouvez l’imaginer. Et, malheureusement, ce sont les personnes qui lisent l’appel textuel et qui, avant même de cliquer sur le lien pour lire l’article complet, ont déjà fait part de leur emploi du temps. Il suffit de se rappeler que, dès que vous diffusez un lien avec une fausse information, vous êtes coresponsable de la nouvelle. Ensuite, lisez au-delà du titre et du sous-titre. Les titres sensationnalistes ont été pour la plupart, alors faites attention à ne pas être un autre canard qui tombe dans ce piège. Puis, il est primordial d’analyser la crédibilité de l’URL. C’est peut-être une étape un peu plus compliquée, car elle demande un peu plus d’attention. Mais on peut vous donner un conseil très simple et facile à identifier : méfiez-vous des URL qui contiennent certains termes. Rien contre les plateformes qui hébergent des blogs, mais le moins que l’on puisse attendre d’un site qui veut être identifié comme professionnel est que l’URL soit personnalisée. Tout le monde peut créer un blog gratuit dans les outils. Mais dès que vous souhaitez rendre votre site plus professionnel, vous payez pour l’enregistrer et obtenir une URL. Et au moment où vous enregistrez votre URL, en plus de payer une redevance, vous devez vous identifier, placer CPF et tout le reste. En d’autres termes, vous pouvez être suivi plus facilement. Suspectez des médias dont vous n’avez jamais entendu parler et qui ne vous permettent pas de les contacter. Après tout, il est très facile de se cacher derrière une page web et de ne pas supporter les conséquences du partage d’informations. Vous pouvez également vérifiez si les auteurs existent et s’ils sont fiables. Lorsque vous lisez un article d’actualité, recherchez la signature de l’article sur la page, surtout si le fait qui y est révélé est d’une grande importance ou s’il compromet l’image d’une personne ou d’une entité. Y a-t-il un journaliste, un blogueur ou un chroniqueur qui signe le texte ? Si ce n’est pas le cas, soyez méfiants et posez des questions. Si c’est le cas, faites des recherches sur l’histoire de cet écrivain. Il faut aussi rechercher plus d’une source pour vous assurer. Si vous ne voulez pas faire partie de la masse en manœuvre, n’en doutez pas. C’est épuisant de vivre dans un monde où l’on ne sait pas si l’on peut faire confiance aux autres, mais c’est une question de survie. Ainsi, lorsque la nouvelle est très alarmante ou semble un peu sensationnelle, cherchez d’autres sources pour vérifier la vérité. Il y a aussi des intérêts politiques et financiers derrière une publication. Au cas où vous ne le sauriez pas, à l’école de communication, nous avons appris très tôt que la presse est la 4e puissance, c’est-à-dire qu’elle est aussi puissante que l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Pensez-y. Il faut aussi vérifier la date de publication. Comme la plupart du pays le sait, il y a une énorme rivalité entre le Guilde et les équipes de football de l’Inter. Un point commun très important entre les deux est un entraîneur qui a travaillé à différentes occasions dans les deux camps.  De nombreuses personnes ont lu le titre et sont déjà parties partager la nouvelle. Ils n’ont même pas ouvert le lien, après tout, le site était généralement célèbre et fiable des gauchos. Les nouvelles étaient vraiment vraies, mais avec un grand détail : il s’agissait de vieux titres, parfois datant d’années et d’années antérieures. Outre le fait de savoir analyser le contexte des faits, il est également nécessaire de vérifier la date de publication d’une nouvelle. Enfin, vous devez savoir vraiment différencier les opinions. Il est important de prêter attention à la différence entre les articles de presse et les chroniques d’opinion. Sur Internet, cela est plus difficile à identifier que dans un journal imprimé, ce qui rend toujours les différences entre eux très claires. Non pas qu’un texte opinatif ait le droit de dénigrer et d’inventer des faits, mais il est surnormal qu’une colonne ait des penchants d’un côté ou de l’autre. Là encore, c’est à vous et à votre pouvoir d’interrogation de décider quelles nouvelles vous allez absorber ou non.

Que fait Facebook contre les fausses nouvelles ?

Même si les réseaux sociaux ne sont pas responsables de la création de facto, ils sont responsables de leur libre diffusion sur leurs plateformes. Facebook a été fortement critiqué pour ne pas avoir pris position sur cette question, mais il semble que l’entreprise étudie maintenant comment utiliser les algorithmes pour interdire les fausses nouvelles. Les équipes de la société ont travaillé sur ce sujet et ont réussi à diviser les nouvelles en trois groupes, qui nécessitent des recherches différentes et donc différentes formes de lutte contre la désinformation. Ils ont délimité qu’il y a des mauvais acteurs, qui sont des faux comptes, des spammeurs, des pirates informatiques. Le deuxième groupe est celui des mauvais comportements, et comprend le sensationnalisme, la polarisation, le spam et les tactiques pour gagner. Le troisième groupe est celui des mauvais contenus, qui comprend les fausses nouvelles, les discours de haine, la violence. Pour l’instant, la difficulté de résoudre définitivement ce problème est que parfois plusieurs de ces facteurs peuvent apparaître dans une même nouvelle. Selon un dirigeant de Facebook, ils travaillent avec un tripode de mesures pour lutter contre la désinformation : supprimer, réduire et informer. La violence, le terrorisme, les faux comptes et l’intimidation seront entièrement supprimés. Les produits de la « zone grise », qui est la plus difficile à identifier par les robots du site, sont les fausses nouvelles, le sensationnalisme. Il s’agirait du contenu réduit, dont la diffusion serait diminuée mais non éliminée, car il ne viole pas les règles de la communauté, mais dérange et n’est pas tellement souhaité par les gens. Et, enfin, le travail d’information, en insérant dans les liens plus d’articles pour que les gens puissent approfondir. L’idée est de montrer un article connexe qui fournit plus de contenu sur le sujet et des données sur la source utilisée. En plus de ces améliorations, la société a promis qu’elle travaillerait en partenariat avec des chercheurs et des universitaires pour étudier les impacts de la diffusion de fausses actualités sur la société.

Comment faire la différence entre une information et un intox ?

Il faut faire attention au titre de l’article, c’est la première chose qui nous saute aux yeux. Pour interpeller un maximum de lecteurs, l’auteur de la fausse information utilise très souvent un titre racoleur.  Il est généralement écrit en majuscule avec, en plus, des points d’exclamation. Autre question à se poser, concernant une information : qui la publie ? Est ce que le site est un média connu, ou au contraire la page personnelle d’un inconnu. Autre point à vérifier : est-ce que le texte  mentionne des lieux exacts ou une date précise ? Enfin très souvent aussi, les images et les vidéos qui veulent nous tromper sont bien trop spectaculaires pour être vraies. Avec Google Images, par exemple, on peut savoir si une photo a été détournée de son véritable contexte ou si elle a été retouchée. L’intoxication peut aussi entraîner des risques de maladie. Dans la plupart des cas, les femmes sont souvent les victimes des fausses nouvelles. Elles ont souvent tendances à manger à la hâte des aliments  qui sont censés prévenir des symptômes des infections gastro alors que ce dernier peuvent être issu d’une fausse déclaration et provoque des infections gastriques. En effet, un article sur la prévention des maladies données peut provoquer une combustion d’origine alimentaire et ainsi source de virus gastro si l’article n’est pas écrit par un médecin spécialiste. Dans ce cas, il vaut toujours mieux consulter l’avis de ce dernier pour faire la prévention  des risques. Puisque l’origine de toutes les fakes news est souvent pour un but bien défini, donc, il faut consulter les sources des nouvelles avant la publication.

Comment faire la différence entre l’info ou intox sur le web?

Pour reconnaître une fausse information, il faut d’abord comprendre ce qu’est une vraie info.  Comment elle est traitée, mis en page, diffusée. Quels sont les différents médias.  Comment travaillent les journalistes. Leur profession exige  un travail scrupuleux : collecter, vérifier, trier, synthétiser, analyser et commenter les faits. Sans oublier de mettre en lumière les différents  points de vue, souvent contradictoires, de tous les protagonistes concernés par un événement. Par exemple, pour couvrir une manifestation  contre la chasse,  il faut donner la parole aussi bien aux chasseurs, qu’aux défenseurs des animaux. D’où l’intérêt de débattre avec les élèves des notions  d’objectivité, de subjectivité et de partialité pour développer leur esprit critique. Un esprit critique qui doit être d’autant plus en alerte sur internet où  n’importe qui peut écrire n’importe quoi, sans être soumis à aucune règle déontologique. Alors, infos ou intox, comment faire la différence? La mise en page des vrais et faux sites d’informations est très similaire. Pour se faire une idée sur la fiabilité d’une information,  les élèves découvriront l’importance des sources. Pour vérifier sa véracité, ils apprendront à entrer dans le cœur de l’information en la disséquant  méthodiquement : qui en est l’auteur, dans quel média est-elle parue, à quelle date ;  de quel événement est-il question ? Où, quand, avec qui, comment, pourquoi a-t-il eu lieu ? Ils apprendront aussi à décrypter les images. Photos truquées, légendes mensongères, nombreux miroirs aux alouettes tapissent le net. Clichés de stars et  mannequins sont parfois tellement retouchés qu’ils renvoient une image déformée de la réalité. Avec  le jeu du hoaxbuster, les élèves, à l’instar de chevaliers du web en quête du Graal , à savoir de la vérité,  devront démasquer les  fausses déclarations. Pour l’occasion, ils  s’inventeront un costume. Enfin, en  troisième partie, les élèves aborderont l’information et la communication sur internet et les réseaux sociaux. Les avantages, risques, dangers et  règles de prudence. Ils élaboreront une charte illustrée avec les règles d’utilisation d’internet à l’école. Gageons que l’expérience leur sera profitable et les aidera à devenir des e-citoyens responsables et avertis pour éviter de se faire berner et manipuler.

Comment vérifier l’information sur Internet ?

Rumeurs, désinformation ou manipulations d’images : la vérité ne sort pas toujours de la bouche d’Internet. Garder un esprit critique face à ce qu’on lit sur la toile est donc nécessaire et vérifier l’information doit être un réflexe à acquérir. Pour y parvenir, Action Innocence vous donne quelques pistes. De plus en plus d’internautes, surtout parmi les adolescents, utilisent Facebook ou Twitter comme principaux outils pour se tenir informé, notamment de l’actualité. Or ces plateformes sont particulièrement propices à la diffusion de fausses informations et la facilité de partage rend leur prolifération difficile à contrôler. Si la propagation d’informations fallacieuses est parfois le résultat d’erreurs ou d’incompréhensions, elle est aussi souvent faite de manière intentionnelle, dans le but de nuire à des individus, de faire le buzz ou de promouvoir un agenda politique particulier. S’informer à l’aide d’Internet requiert donc de faire preuve d’esprit critique et de vérifier la véracité de ce qui nous est transmis. Le premier réflexe, lorsqu’une information est véhiculée par les réseaux sociaux, est de vérifier quelle en est la source – dans le cas où celle-ci est spécifiée. Elle peut être un bon indicateur sur la crédibilité de ce qui est relayé. De manière générale, favorisez les sources reconnues : grands titres de presse, agence de presse, sites institutionnels, etc. Cependant, une source crédible ne garantit pas à 100% la véracité d’une information. En effet, les journalistes professionnels peuvent parfois, eux-mêmes, être à l’origine de la diffusion de fausses informations. Ce fut le cas avec une annonce démentie peu de temps après avoir été relayées par de nombreux sites d’information en ligne. C’est pourquoi, il est nécessaire de comparer et de recouper diverses sources pour procéder à une vérification fiable. Dans le cas des images, il est important de vérifier qu’elles correspondent bien aux contextes auxquels elles sont attribuées. Des outils tels que Google Images Reverse Search permettent d’effectuer une recherche à partir d’une image et consulter la liste des diverses pages Internet sur lesquelles elle a été publiée. Comparer la date de publication de ces pages avec la date de l’événement qui est attribué à la photo est une bonne façon de vérifier la véracité de celle-ci. Pour finir, n’oubliez pas qu’il est toujours possible de vérifier une information en dehors d’Internet. N’hésitez pas à consulter des livres notamment les encyclopédies ou les dictionnaires ou à contacter une personne qualifiée dans votre entourage.

La prolifération des théories du complot

Beaucoup de rumeurs et de fausses informations diffusées sur Internet sont liées à ce que l’on nomme communément des théories du complot ou conspirationnisme. Un sociologue français et spécialiste de la question, identifie quatre grands principes qui permettent d’identifier les croyances conspirationnistes. Il faut ainsi être conscient que rien n’arrive par accident  et que tout ce qui arrive est le résultat d’intentions ou de volontés cachées. Aussi, rien n’est tel qu’il parait être mais tout est lié, mais de façon occulte. Les thèses conspirationnistes sont généralement dirigées contre des groupes particuliers identifiés par leurs auteurs comme étant à la source du complot et qui font dès lors souvent l’objet de messages haineux, voire de menaces. Le phénomène n’est pas récent mais a trouvé un nouveau souffle avec l’avènement d’Internet, qui permet de facilement diffuser ces théories auprès d’un large public. Suite aux attentats à Paris, leur prolifération a suscité l’inquiétude des autorités françaises. Le gouvernement a réagi en créant une plateforme internet pour contrer la propagation du conspirationnisme en donnant, notamment, des outils de réflexion critique.

Comprendre les dangers des sites parodiques

Le cas des sites parodiques est également problématique lorsque l’on touche à la question de la désinformation sur le web. Des plateformes comme « Le Gorafi » (en France), « The Onion » (aux Etats-Unis) ou « 24 Matin » (en Suisse) se sont spécialisées dans la publication de faux articles d’actualité à visée humoristique. Malheureusement, il n’est pas rare que les informations publiées sur ces sites soient prises au sérieux et relayées sur les réseaux sociaux. Hors contexte, l’aspect parodique peut, en effet, facilement échapper au lecteur. Cela peut se produire par manipulation par l’image. La communication moderne passe avant tout par l’image et ceci est d’autant plus vrai sur les réseaux sociaux où le partage de photos est omniprésent. Certaines images deviennent rapidement virales et circulent sans que leurs sources soient mentionnées. Dans ces conditions, elles peuvent être attribuées à des événements auxquels elles ne sont absolument pas liées, ce qui constitue l’une des falsifications d’information les plus courantes. Avec l’avènement d’Internet et la démocratisation des logiciels de retouche d’images, il est également devenu beaucoup plus aisé de créer et de diffuser des photographies manipulées. Faire disparaître un élément d’une photo peut, par exemple, être réalisé sans trop de difficulté par une personne n’ayant que des connaissances basiques en retouche numérique

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